La diplomatie marocaine continue de plus belle sur sa lancée : Le Maroc de plus en plus conforté dans son droit
Affaire eFloussy : Boukaa pris en “flagrant délit” à la prison d’Oukacha
17/03/2011
Son nom défraie la chronique depuis le déclenchement du scandale eFloussy. Karim Boukaa, président du directoire de Quick Money, est en prison et ses victimes se comptent par centaines. Abdelkarim Rahal Essoulami, principal associé d’eFloussy, en est un. Boukaa l’a arnaqué. Un chef d’accusation que les avocats du principal accusé nient en bloc. Mais Rahal persiste et signe. Il affirme avoir les preuves formelles de la culpabilité de son associé, Boukaa. Des preuves acceptées par la justice qui a tranché dans cette affaire de détournement.
Selon certaines sources, l’ancien président du directoire aurait été pris mardi en flagrant délit de remise à son avocat des traites antidatées d’une valeur estimée à quelque 7,5 milliards de centimes. Un acte qui prouverait, toujours selon notre source, les intentions de l’accusé. Mis derrière les barreaux jeudi dernier, ce dernier ne pourrait donner sa version des faits. Mais il peut toujours bénéficier de son droit de réponse une fois libéré ou acquitté. Dans l’attente, les franchisés de la société poursuivent leur sit-in. Surendettés, ces jeunes promoteurs refusent d’assumer les conséquences des mésaventures de la société dont ils exploitent l’enseigne et qui a cumulé, en un laps de temps record, des dettes colossales.
Abdelkarim Rahal qui détient 24% des actions de la société Quick Money affirme dans une interview accordée à Libé garder confiance en la justice qui a tranché dans cette affaire en saisissant les biens de Boukaa pour le compte de ses créanciers. Mais ceux-ci ne peuvent réparer les dégâts. Chakib Laghzaoui, nommé récemment à la place de Boukaa à la tête de Quick Money, détient-il la solution à ce problème ?
(Lire interview d’Abdelkarim Rahal Essoulami en "Invité")
Selon certaines sources, l’ancien président du directoire aurait été pris mardi en flagrant délit de remise à son avocat des traites antidatées d’une valeur estimée à quelque 7,5 milliards de centimes. Un acte qui prouverait, toujours selon notre source, les intentions de l’accusé. Mis derrière les barreaux jeudi dernier, ce dernier ne pourrait donner sa version des faits. Mais il peut toujours bénéficier de son droit de réponse une fois libéré ou acquitté. Dans l’attente, les franchisés de la société poursuivent leur sit-in. Surendettés, ces jeunes promoteurs refusent d’assumer les conséquences des mésaventures de la société dont ils exploitent l’enseigne et qui a cumulé, en un laps de temps record, des dettes colossales.
Abdelkarim Rahal qui détient 24% des actions de la société Quick Money affirme dans une interview accordée à Libé garder confiance en la justice qui a tranché dans cette affaire en saisissant les biens de Boukaa pour le compte de ses créanciers. Mais ceux-ci ne peuvent réparer les dégâts. Chakib Laghzaoui, nommé récemment à la place de Boukaa à la tête de Quick Money, détient-il la solution à ce problème ?
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Tél.: 0522 61 94 00/04. Fax: 0522 62 09 72
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